Il était une fois... la vaisselle peinte.
De l'autre côté du Prismacolor, sur le mur opposé, dans l'atelier, il y a la porcelaine, les pinceaux et une belle quantité de pots Pebeo. Mon deuxième talent. Mon sideline. Ma Bête Noire. Une activité-doudou un peu gênante dont je n'arrive pas à me débarrasser. Car cet autre mode de création me fait, plusieurs semaines par année, tourner le dos à ma table à dessin. Dans le sens littéral autant que dans l'autre.
Vous m'avez peut-être entendu dire plusieurs fois que j'allais arrêter. Faire quelques cadeaux par année, mais pas de vente au particulier. Me concentrer sur mes cartons. Finir par m'investir plus en profondeur dans le contrat d'illustration ou la vente d'originaux.
Mais voilà. Ces petits morceaux colorés, c'est du Eolie en plus accessible, en plus utile. Ça s'efface, contrairement à la fatidique ligne de feutre ratée. Je m'y triture moins la tripe, c'est bien. Mais j'y perds plus de temps, ce qui ne l'est pas. Faut que j'y mette un frein. Ou du moins, une bonne pause de quelques années.
Et le téléphone sonne. Et on veut m'avoir sur une autre tablette. Et vous voulez que je continue parce que vous aimez. Et je veux continuer parce que vous aimez. Et bon. J'aime ça aussi. Vous l'avez compris.
Je vous donne ma nouvelle adresse aussitôt que c'est signé.
Assez tergiversé. Faut que j'aille dessiner.
De l'autre côté du Prismacolor, sur le mur opposé, dans l'atelier, il y a la porcelaine, les pinceaux et une belle quantité de pots Pebeo. Mon deuxième talent. Mon sideline. Ma Bête Noire. Une activité-doudou un peu gênante dont je n'arrive pas à me débarrasser. Car cet autre mode de création me fait, plusieurs semaines par année, tourner le dos à ma table à dessin. Dans le sens littéral autant que dans l'autre.
Vous m'avez peut-être entendu dire plusieurs fois que j'allais arrêter. Faire quelques cadeaux par année, mais pas de vente au particulier. Me concentrer sur mes cartons. Finir par m'investir plus en profondeur dans le contrat d'illustration ou la vente d'originaux.
Mais voilà. Ces petits morceaux colorés, c'est du Eolie en plus accessible, en plus utile. Ça s'efface, contrairement à la fatidique ligne de feutre ratée. Je m'y triture moins la tripe, c'est bien. Mais j'y perds plus de temps, ce qui ne l'est pas. Faut que j'y mette un frein. Ou du moins, une bonne pause de quelques années.
Et le téléphone sonne. Et on veut m'avoir sur une autre tablette. Et vous voulez que je continue parce que vous aimez. Et je veux continuer parce que vous aimez. Et bon. J'aime ça aussi. Vous l'avez compris.
Je vous donne ma nouvelle adresse aussitôt que c'est signé.
Assez tergiversé. Faut que j'aille dessiner.
Commentaires
J'ai vraiment appréciée faire ta connaissance cette semaine.
Je te souhaite de belles réalisations. Et je suivrai ton parcours via ton blog.
Au plaisir,
Evelyne Bouchard